Chez épices et compagnie, on révise, on révise et on révise encore ! Au programme du moment, hormis des cours théoriques (un peu trop théoriques à mon goût…), il y a la pâte à choux.
Comme on a déjà servi des éclairs à la vanille et des choux-caramel maintes et maintes fois à mamie Suzanne et sa fine équipe de testeurs (indulgents mais tout de même gourmands !), on a décidé de varier un peu les plaisirs parce qu’on ne voudrait pas lasser leurs papilles… et parce qu’on a plein de choses à leur faire tester après le CAP, alors, on les soigne leurs papilles ! Faudrait pas qu’elles s’épuisent ou se mettent brusquement à préférer le salé. ça serait pas pour arranger nos petites affaires…
Alors merci les papilles (et les récepteurs sensoriels et les bourgeons du goût et le nerf olfactif et le bulbe olfactif et le centre gustatif du cerveau et et… Oh pardon, ce sont les cours un peu théoriques qui reviennent…) et vive les chouquettes !
Comme on a déjà servi des éclairs à la vanille et des choux-caramel maintes et maintes fois à mamie Suzanne et sa fine équipe de testeurs (indulgents mais tout de même gourmands !), on a décidé de varier un peu les plaisirs parce qu’on ne voudrait pas lasser leurs papilles… et parce qu’on a plein de choses à leur faire tester après le CAP, alors, on les soigne leurs papilles ! Faudrait pas qu’elles s’épuisent ou se mettent brusquement à préférer le salé. ça serait pas pour arranger nos petites affaires…
Alors merci les papilles (et les récepteurs sensoriels et les bourgeons du goût et le nerf olfactif et le bulbe olfactif et le centre gustatif du cerveau et et… Oh pardon, ce sont les cours un peu théoriques qui reviennent…) et vive les chouquettes !
Chouquettes roses et blanches
Pour une trentaine de chouquettes
12,5 cl d’eau
50 g de beurre (+ un peu pour les plaques de cuisson)
1/2 c. à c. de sel (env. 4 g)
100 g de farine
4 oeufs (dont 1 pour la dorure)
quelques pralines roses
2 c. à s. de sucre en grains
Concassez les pralines grossièrement.
Graissez légèrement 2 plaques à pâtisserie.
Cassez les oeufs et réservez.
Coupez le beurre en morceaux.
Dans une casserole, portez l’eau, le sel et le beurre à ébullition.
A ébullition, ajoutez la farine hors du feu. Mélangez bien avant de remettre sur le feu quelques secondes pour faire sécher la pâte. Mélangez sans cesse en raclant bien les bords de la casserole.
Quand la pâte se détache des bords, arrêtez le feu.
Ajoutez le premier oeuf et mélangez jusqu’à ce qu’il soit bien incorporé.
Ajoutez le deuxième oeuf et mélangez jusqu’à incorporation complète aussi.
Ajoutez la moitié du troisième oeuf (et oui, pas évident de mettre un demi oeuf !) et voyez ce que donne la pâte après incorporation. Si elle est lisse mais encore très ferme, vous pouvez ajouter le reste du troisième oeuf. Si elle vous semble déjà bien liquide, restez-en là.
La pâte à chou doit être lisse, brillante et former ce qu’on appelle dans le jargon un « bec d’oiseau » : quand on soulève la spatule , la pâte qui est dessus s’affaisse très légèrement et forme une petite pointe en forme de bec d’oiseau.
Préchauffez le four à 220°C (non ventilé c’est mieux, le développement de la pâte à choux sera plus régulier).
Remplissez une poche à douille munie d’une douille lisse de 1 cm de diamètre. Dressez des tas de pâte de la taille d’une petite noix espacés de 2-3 cm. Si vous n’avez pas de poches à douille, 2 petites cuillères feront l’affaire, les chouquettes seront peut-être juste un peu moins rondes.
Battez le reste d’oeuf avec une pincée de sel et un peu de lait (ou d’eau pour ceux qui n’aiment pas le lait et j’en connais !) pour préparer la dorure.
Badigeonnez légèrement les chouquettes de cette dorure. Avec une fourchette mouillée, aplatissez légèrement la surface des chouquettes.
Parsemez de grains de sucre et de pralines concassées.
Enfournez. Baissez la température du four à 200°C au bout de 5 minutes.
Laissez cuire jusqu’à ce que les chouquettes soient bien dorées. (ça a pris 20 minutes pour les miennes).
Graissez légèrement 2 plaques à pâtisserie.
Cassez les oeufs et réservez.
Coupez le beurre en morceaux.
Dans une casserole, portez l’eau, le sel et le beurre à ébullition.
A ébullition, ajoutez la farine hors du feu. Mélangez bien avant de remettre sur le feu quelques secondes pour faire sécher la pâte. Mélangez sans cesse en raclant bien les bords de la casserole.
Quand la pâte se détache des bords, arrêtez le feu.
Ajoutez le premier oeuf et mélangez jusqu’à ce qu’il soit bien incorporé.
Ajoutez le deuxième oeuf et mélangez jusqu’à incorporation complète aussi.
Ajoutez la moitié du troisième oeuf (et oui, pas évident de mettre un demi oeuf !) et voyez ce que donne la pâte après incorporation. Si elle est lisse mais encore très ferme, vous pouvez ajouter le reste du troisième oeuf. Si elle vous semble déjà bien liquide, restez-en là.
La pâte à chou doit être lisse, brillante et former ce qu’on appelle dans le jargon un « bec d’oiseau » : quand on soulève la spatule , la pâte qui est dessus s’affaisse très légèrement et forme une petite pointe en forme de bec d’oiseau.
Préchauffez le four à 220°C (non ventilé c’est mieux, le développement de la pâte à choux sera plus régulier).
Remplissez une poche à douille munie d’une douille lisse de 1 cm de diamètre. Dressez des tas de pâte de la taille d’une petite noix espacés de 2-3 cm. Si vous n’avez pas de poches à douille, 2 petites cuillères feront l’affaire, les chouquettes seront peut-être juste un peu moins rondes.
Battez le reste d’oeuf avec une pincée de sel et un peu de lait (ou d’eau pour ceux qui n’aiment pas le lait et j’en connais !) pour préparer la dorure.
Badigeonnez légèrement les chouquettes de cette dorure. Avec une fourchette mouillée, aplatissez légèrement la surface des chouquettes.
Parsemez de grains de sucre et de pralines concassées.
Enfournez. Baissez la température du four à 200°C au bout de 5 minutes.
Laissez cuire jusqu’à ce que les chouquettes soient bien dorées. (ça a pris 20 minutes pour les miennes).
Attends j’arrive, j’ai un truc à réviser moi aussi !!
Trop dures les révisions!!! 🙂 Je veux bien vous aider à réviser aussi…
Quelle bonne idée des chouquettes aux pralines roses…et quel dommage que tu sois si loin ! Courage pour les révisions et plein de bisous.
Trop belles tes chouquettes aux pralines! Comme toute tes recettes d’ailleurs. Bonne journée et n’hésites pas à venir faire un tour sur mon blog.
à l’unanimité, belles et délicieuses
Danielle
Quel dommage d’être aussi loin ! On aurait adoré jouer les « testeurs » ! Bon courage et très grosses bises.
Isabelle, Olivier et Géromine.
Si tu manques de testeurs, n’hésite pas. Je peux t’aider à réviser aussi.
A croquer ces choux!
Flo Bretzel
Un petit coucou en passant….tout d’abord elles sont trop mimis ces chouquettes; j’en croquerai bien une……et puis ensuite bonne chance pour les épreuves !!!!!
J’adore les chouquettes, je ne les avais jamais vues aux pralines, c’est une super bonne idée.
Bon courage et bonne chance pour la suite.
attends je peux t’aider à réviser ….euh … à les manger !!!!
bonnes révisions sucrées 😉